Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours

EN TERRAIN BENI

Avec la fin(s) du voyage épique des huit films Harry Potter parcouru aux Leavesden Studios, Empire rencontre les deux constances en son cœur, la star Daniel Radcliffe et le producteur David Heyman, pour discuter de leur expérience de ce rêve, de sa fin et des parties I et II des Reliques de la Mort.

Propos recueillis par Helen O’Hara.

David Heyman et Daniel Radcliffe sont des hommes occupés. Après tout, ils sont le producteur et la star de la franchise Harry Potter, une des séries les plus importantes du box-office que le monde ait jamais pu voir. En ce moment, fin mars, ils se préparent pour la sortie du sixième film, tout en tournant le septième, Harry Potter et les Reliques de la Mort – 1ère Partie, ainsi qu’en tournant également la deuxième partie, dont le scénario reste à peaufiner.
Par conséquent, cela n’est pas chose facile que de rassembler la paire, dans le bureau d’Heyman, au QG de la production des films, à Leavesden. Radcliffe s’excuse d’avoir gardé son costume rembourré pour ses cascades, tout en rassurant Heyman et en disant que tout se passe bien. « Nous étions prêts à tourner quand David (Yates, le réalisateur) a dit que le décor n’allait pas tout à fait. D’ailleurs, je ne devrais pas dire ça devant le producteur ! »
C’est donc pendant que Yate réarrange le plateau que nous poussons la paire à se rappeler le passé de Potter – et à nous dévoiler ce que contiennent les trois derniers films…

Vous êtes dans la dernière ligne droite maintenant. Quel effet cela fait ?

RADCLIFFE : D’un point de vue personnel, ces films ont fait partie de ma vie depuis l’âge de 11 ans jusqu’à, d’ici qu’on finisse, l’âge de 20 ou 21 ans. Ca va être étrange de les achever enfin.

HEYMAN : Je travaille sur la pré-production, la production ou sur la post-production depuis 1999, et je n’avais pas à m’inquiéter à propos de la provenance du prochain film. Bien sûr, j’ai aussi travaillé sur d’autres films bizarres de temps en temps, mais j’avais toujours Potter et – cela sonne mielleux d’une façon agaçante – c’est vraiment comme une famille. Je n’ai jamais fait quelque chose, ou été dans un même endroit pendant si longtemps, et c’est vraiment incroyable.

RADCLIFFE : Ta fille a neuf ans, et elle est née, je crois, trois jours après que j’ai obtenu le rôle.

HEYMAN : Il y a eu des mariages et des divorces…

RADCLIFFE : Mon meilleur ami, Will, avait des cheveux châtains et était un célibataire forcené. Et maintenant, il est dans une relation de longue durée avec deux enfants et des cheveux gris. A chaque fois qu’on regarde les films de nouveau – quiconque d’entre nous, du casting ou de l’équipe – on peut dire, « Oh, je me souviens : c’est le jour où j’ai divorcé ! » Ou, « c’est le jour où je me suis marié ! » Tous nos souvenirs sont liés à ces films. C’est magnifique.

Parlons des Reliques de la Mort alors. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?

HEYMAN : Nous sommes en train de tourner les Parties Une et Deux. On les tourne en même temps. Donc je regarde les rushs, en travaillant toujours sur le scénario de la deuxième partir, sur le planning, en poursuivant le casting, et en étant sur le plateau pour discuter de la façon dont devraient se faire les choses. On ne prépare pas du tout un film comme cela avant de le tourner. On prépare en avançant. Et on se prépare aussi pour la sortie du Prince de Sang-mêlé donc on est très impliqué là-dedans aussi.

RADCLIFFE : En ce moment, je fais une grosse scène de combat et c’est génial. Je suis juste couvert de poussière et de sang, mais c’est super ; j’ai le droit d’être un garçon et de courir partout ! Qu’a-t-on fait d’autre récemment ? On est tellement occupé en ce moment ; on fait beaucoup de choses. Potter peut avancer assez lentement, mais celui-ci reprend vraiment du rythme.

Il ya beaucoup de choses à placer dedans, même pour deux films.

HEYMAN : Une des raisons pour lesquelles nous avons décidé de faire deux films à partir du dernier livre est que, dans ce livre, plus que n’importe quel autre, on ne pouvait pas couper. Ce que nous avons décidé de faire dans les derniers livres, vraiment une fois qu’Alfonso Cuarõn est arrivé, était de prendre l’histoire du point de vue de Harry. Ca voulait dire que certaines choses étaient abandonnées, comme l’obsession d’Hermione avec le FLEM (Front de Libération des Elfes de Maison, ndlr), des choses que l’on adorait mais pour lesquelles nous n’avions simplement pas la place.

RADCLIFFE : Tout tourne autour de ce qui fait avancer l’histoire, n’est-ce pas ? Et si cela ne le fait pas, alors cela ne peut pas en faire partie.

HEYMAN : Indépendamment du fait que l’on apprécie beaucoup ou non. Par conséquent, dans Les Reliques de la Mort, tout tourne autour de Harry, donc tout est dans l’histoire. Je pense que, si nous le faisions en un film, il aurait duré environ cinq heures ; et peu importe que les fans soient merveilleux, je crois que même eux auraient été agités après cela. Je peux vous dire que je le serais, moi !

RADCLIFFE : Eh bien, toi particulièrement, parce que tu dois le regarder environ cent fois!

HEYMAN : Donc, finalement, je pense qu’il y aura moins de choses coupées dans ce films que dans les précédents parce que nous avons la liberté de faire deux films, et je pense que ça sera fantastique.

RADCLIFFE : C’est un road movie, particulièrement dans la Partie I du film. Les gens ont l’habitude de voir Harry Potter à Poudlard et nous n’y sommes pas pendant toute la première partie du film. Il semble que cela ait vraiment rafraichi les choses ; et, avec un peu de chance, cela conduira les gens à voir le film avec des yeux neufs, parce que c’est juste un regard totalement différent quand vous n’êtes pas simplement assis dans la même pièce tout le temps.

HEYMAN : Il y aura beaucoup d’action, beaucoup d’aventure, et il y aura une fin très fidèle aux livres que Jo (Rowling) a écrits, donc si vous lisez les livres, vous aurez une assez bonne idée de ce qu’il va se passer.

A quel point était-ce difficile de trouver le bon endroit pour couper l’histoire ?

HEYMAN : Eh bien, c’est intéressant. Nous avons considéré plusieurs endroits, et finalement nous nous sommes accordés sur un endroit que je pense être très excitant, et assez osé, dans le sens où ce n’est pas nécessairement où on pourrait le penser. Mais je ne veux pas révéler l’endroit où c’est. On veut donner une idée d’aboutissement d’une part, mais aussi l’idée qu’il y a un autre morceau à venir. Donc oui, nous en avons essayé un, puis Steve (Kloves, scénariste) a eu l’idée d’essayer une autre manière, et quand nous l’avons essayé, cela semblait juste.

RADCLIFFE : Bien sûr, en faisant le film comme cela, nous avons le luxe de changer peut-être quelque chose, mais c’est à un cliffhanger très tendu et cela devrait faire revenir les gens six mois plus tard. Mais je suis sûr qu’ils garderont leurs options ouvertes jusqu’à la dernière minute.

Y a-t-il eu quoi que ce soit, en lisant les livres, pour lequel vous vous êtes demandé, « comment diable allons-nous faire pour faire ça à l’écran » ?

HEYMAN : Je pense que la chose qui m’inquiétait le plus était l’épilogue, avec les versions plus vieilles des acteurs principaux. Cela serait très dommage de ne pas avoir Dan et Rupert et Emma pour finir la saga, mais nous étions en train d’étudier toutes les manières possibles de le faire, avec d’autres acteurs et ainsi de suite. Et ensuite, nous avons vu L’Etrange Histoire de Benjamin Button, et cette technologie qui permettait de vieillir ; donc je pense que nous allons essayer cela, parce que je me sentirais très mal d’avoir d’autre gens reprendre ces rôles pour les derniers soupirs.

RADCLIFFE : Cela m’inquiète, parce que si c’est bien, je serais très, très satisfait ; mais l’idée m’inquiète simplement : si ce n’est pas bien et que c’est ce avec quoi les gens restent, ce serait terrible. Je sais que quand le livre est sorti, c’était une partie très discutée. Donc, si cela en venait à un choix entre nous avoir, moi, Emma et Rupert, ayant l’air un peu stupide et la scène devenant légèrement comique, et avoir d’autres acteurs pour nous jouer, je serais plutôt pour le fait que d’autres acteurs nous remplacent. Et ayant vu Benjamin Button maintenant, je sais que c’est possible de le faire, et que cela va donc dépendre de moi, Rupert et Emma de le « mettre en pratique », d’avoir l’air plus vieux et d’essayer cela. Ce qui sera drôle, ce sera génial. Donc, nous verrons bien. Je pense que pour moi, l’autre chose qui est intimidante sera la traversée de la forêt, pour rencontrer Voldemort. Ca va être très dur, mais j’ai vraiment hâte.

Est-ce que votre approche de l’histoire a changé quand le dernier livre est sorti ?

RADCLIFFE : Non, pas particulièrement. Ce que je veux dire est que Harry ne connaît pas son avenir donc je ne le jouerais jamais en sachant avant lui ce qu’il deviendrait. Je suppose qu’il y a des chances que le fait de savoir ce qui lui arriverait m’ait affecté sans que je m’en rende compte – je ne suis pas sûr – ; mais si la fin avait été différente, disons que Harry mourait à la fin du septième livre, cela aurait probablement en fait affecté mon jeu puisque j’aurais pu commencer à jouer terriblement comme si j’étais « condamné ». Ce qui aurait été horrible !

HEYMAN : C’est une question plus pour Steve Kloves que pour nous. Je crois que le septième film est sorti quand nous faisions le cinquième film, et à ce moment-là, nous avions déjà décidé de garder Kreattur, par exemple, que nous avions pensé supprimer – et il est clairement un personnage important du septième film. Le fait est que Jo était toujours présente, si nous laissions passer certaines choses ; et Steve Kloves et nous tous avions un bon instinct sur ce qui est ou non constitutif.

Faire deux films l’un après l’autre doit aboutir sur d’assez longues journées…

HEYMAN : Tourner deux films est excitant, mais c’est un défi, oui. Mais nous limitons toujours les heures d’une manière générale – nous n’avons pas mis tout le monde sur des horaires dickensiens depuis qu’ils ont 18 ans.

RADCLIFFE : Avec n’importe quel autre film, nous ferions tous des journées de 12 heures à la suite, mais avec ces films-là durent environ 3 mois, et nous faisons ça sur 347 jours. Je sais que Eyes Wide Shut (de Stanley Kubrick, ndlr) était comme ça – il leur a fallu 18 mois pour tourner, non ? – et je suis sûr qu’ils faisaient probablement des longues journées, mais je ne sais pas comment ils ont géré ça parce que… Eh bien, ils doivent être faits d’une autre trempe.

HEYMAN : Et heureusement, David Yates est juste incroyable : son enthousiasme pour réaliser ces films n’est pas retombé depuis le premier jour de Harry Potter 5. La façon dont ça a fonctionné sur chaque film est qu’on demande au réalisateur, si on a tous eu une bonne expérience, s’il aimerait choisir de revenir, et David était le seul qui a dit : « Bien sûr, je vais revenir », et ensuite, « Bien sûr, je vais revenir de nouveau » ! C’était remarquable.

RADCLIFFE : Ces films ont tous pris une année. Le plus court était de neuf mois, et le plus long était de 11 ou 12 mois. Mais nous devons faire chaque film mieux que le précédent. Je dois sortir en beauté, autrement je ne pourrais pas vivre avec ça.

Donc, est-t-il question de redouter la fin, ou de s’y préparer ?

HEYMAN : C’est pour moi l’apogée d’une réelle excitation parce qu’il y aura le temps maintenant d’explorer de nouvelles aventures ; et une réelle tristesse parce que c’est un monde extraordinaire auquel participer, ce mélange entre désuétude et nouvelles technologies. Nous avons fait des films qui avaient un public de bonne volonté. Nous allons désormais entrer le monde de l’incertitude.

RADCLIFFE : Et nous n’aurons jamais quelque chose comme cela une fois encore. Je pense bien que c’est triste, mais j’attends aussi avec impatience de ne plus avoir à dire aux gens qui me demandent « Oh, nous avons ce scénario génial, êtes-vous libre cette année ? », « Non, mais je serai disponible dans quatre ans ! »

Il semble que ce soit un plateau extrêmement harmonieux.

RADCLIFFE : Si vous veniez tous les jours ! Quand des journalistes viennent sur le plateau, tout le monde se comporte un peu de leur meilleure façon. Mais, non, c’est incroyable, c’est très marrant jusqu’au bout.

HEYMAN : C’est un environnement génial dans le sens où on peut être très direct à propos de ce qu’on aime ou non, et rien de tout ça n’a à voir avec l’égo…

Les gens ont fait des commentaires sur le fait que vous êtes tous très proches de vos personnages.

HEYMAN : Nous avons été très chanceux. Il y a sûrement de grosses différences par rapport à leurs personnages dont ils aimeraient vous parler plus que moi !

RADCLIFFE : Nous avons effectivement parfois des moments où la vie imite l’art… Mais, vous savez, parfois Rupert est assez calme, donc je ne sais pas s’il est comme Ron en ce point.

HEYMAN : Mais Emma est incroyablement intelligente – elle a eu la note la plus haute du pays en Anglais, des notes parfaites. Tu es très curieux, Dan, toujours à la recherche de l’inspiration et de nouvelles expériences. Et Rupert est très proche de sa famille, comme Ron. Nous n’avions aucune idée que ce serait si proche quand nous vous avons choisis.

C’est presque une blague réputée que tous les acteurs britanniques sont apparus dans Potter à un moment ou un autre.

RADCLIFFE (rigole) : Il y en a peut-être encore quelques-uns dont nous avons besoin pour compléter le plateau.

HEYMAN : Je ne pense pas que ce soit quelque chose qu’on aurait pu anticiper au début. Jo écrit ces personnages géniaux, et il y a certains acteurs, comme Gary Oldman, qui n’ont pas souvent l’occasion de faire des films que leurs enfants peuvent aller voir, donc ils très enthousiastes. Je crois que c’est Richard Harris (le premier acteur interprétant Dumbledore, ndlr) qui n’avait pas lu les livres ; mais sa petite-fille lui avait dit : « Si tu n’es pas dedans, grand-père, c’est fini ! »

RADCLIFFE : Gary Oldman est évidemment ma particulière idole. Travailler avec lui était extraordinaire – un cadeau.

Y a-t-il quelqu’un que vous auriez souhaité placer quelque part sans le pouvoir ?

HEYMAN : Eileen Atkins ou Ian McKellen, ou Daniel Day-Lewis ou Daniel Craig, il y en a tant – James McAvoy, Anne-Marie Duff. Des personnes que j’admire. Mais, hélas, il faudra attendre un autre projet.

RADCLIFFE : Helen Mirren et Judi Dench – ce sont elles dont nous avons besoin, mais je ne sais pas si nous les obtiendrons. Et pour moi – bien qu’il soit tout de même très associé aux livres parce qu’il fait les cassettes – ce serait Stephen Fry aussi.

Il vous arrive parfois de retourner en arrière et de regarder les anciens ?

RADCLIFFE : Normalement, je les regarde quatre fois : une fois tout seul, une fois avec quelques amis, ensuite à la première de Londres et à la première américaine et c’est fini pour toujours.

HEYMAN : C’est vraiment assez stupéfiant. On pense juste, « Wow… Je ne pensais pas que c’était aussi bien que ça ».

LES AMERICAINS SILENCIEUX

Une ovation pour les Yankees qui ont aidé à modeler Harry Potter.

Harry Potter est connu comme une franchise britannique – pleine jusqu’au cou d’acteurs britanniques, fondée sur des livres par une auteure britannique et filmée juste à l’extérieur de Watford. Mais deux Américains ont instrumenté l’avènement de Potter à l’écran : le réalisateur Chris Columbus, qui a pris les commandes des deux premiers, et le scénariste Steve Kloves, qui les a tous scénarisés sauf La Coupe de Feu.
« Je pense que vous ne pouvez pas faire un bon film sans un bon scénario ; donc Steve Kloves était, en de nombreuses manières, après Jo Rowling, le fondement », dit David Heyman. « Nous sommes rencontrés pour la première fois en 1999, avant que les livres ne deviennent un énorme phénomène. Mais lui et Jo Rowling connaissaient clairement les mêmes références. Occasionnellement, Jo disait, ‘ça alors, si j’avais pensé à ça’, à propos de quelque chose que Steve avait fait. Ce qu’il apporte est une fine compréhension de ce qui est important ou non dans les livres, et il capture parfaitement à la fois l’émotion, mais aussi l’humour qui est si riche dans les livres de Jo ».
« En ce qui me concerne, Steve est l’homme le plus courageux du monde », dit Radcliffe, « parce qu’écrire quand ce vrai phénomène commençait à culminer, avoir les tripes de s’y adapter, est époustouflant pour moi ; et il a fait un travail incroyable. Vraiment, où commence-t-on ? »
« Chris Columbus a aidé à définir le monde visuellement », dit Heyman. « Il a dû créer cet entier univers. Beaucoup de décisions ont reposé finalement sur Chris ». Radcliffe ajoute : « Je me souviens qu’un des noms qui étaient jetés sur la table à l’époque était Terry Gilliam, et on avait raconté que Jo avait dit une fois qu’elle adorerait qu’il réalise le film. J’adore les films de Terry Gilliam, mais pour les tout premiers, quand les fans étaient encore jeunes, ils n’auraient pas facilement accepté ça par rapport à ce que Chris a fait.»

DANIEL RADCLIFFE, EMMA WATSON & RUPERT GRINT – LA SERIE HARRY POTTER (depuis 2001)

RADCLIFFE: « Quel honneur de faire partie de cette édition spéciale d’Empire, créée par Steven Spielberg. Quand je repense à toutes ces dernières années sur Potter, la chose qui se démarque pour moi, et qui est aussi vraie aujourd’hui qu’elle l’a été le premier jour du premier film, est la merveilleuse atmosphère sur le plateau. Hormis le travail difficile, ça a toujours été un endroit plein de blagues et de rires ! J’ai grandi avec beaucoup de personnes de l’équipe qui travaillent encore sur ces films, et revenir chaque année pour continuer le voyage est une énorme privilège ».

WATSON : « Sur le premier film Harry Potter, quand mon hamster bien-aimé est mort, toute l’équipe artistique de Harry Potter m’a fait un cercueil en bois et en velours avec ‘Milly’ sur le devant. Je ne pense pas qu’un hamster ait jamais eu des adieux aussi spectaculaires ! »

GRINT : « Je suis si fier de faire partie de Harry Potter, et encore plus fier de représenter les rouquins ».

Portolien

Mads Mikkelsen

Grindelwald : un acteur enfin confirmé

Nous vous annoncions précédemment que la Warner Bros. recherchait un remplaçant pour jouer le personnage …

6 commentaires

  1. Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours
    Comment passer un agréable moment un dimanche après-midi, quand il pleut?
    Il suffit de lire tranquillement une interview de Daniel Radcliffe et David Heyman magistralement traduite par Sifrette: bravo l’artiste! (*^_^*)

  2. Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours
    Super ils n’ont pas tourné le film qu’ils le reportent deja =/ sniif! Sinon, ca n’a pas l’air mal =)

    • Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours
      Je tiens simplement à préciser que le report n’est pas encore confirmé par Warner Bros. Considérez-donc cette information comme une simple rumeur.

  3. Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours
    Mais je vais à Londres mercredi !! Est-ce que quelqu’un pourrait me dire avant mardi soir si ils tourneront encore à Piccadilly Circus ou quelque part dans Londres et si oui quand. Merci beaucoup

    • Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours
      les scènes à Piccadilly Circus sont terminées! désolée!

  4. Daniel Radcliffe et David Heyman parlent des Reliques de la Mort et de leur parcours
    Emma porte des chaussures françaises (des Louboutins) !
    Sympa la petite dédicace au pays dans lequel elle est née ^^